Laure, pourquoi organiser un tel colloque ?
Le vieillissement de la population interroge de toutes parts. Sur la dépendance évidemment, mais aussi sur la cohésion sociale, la lutte contre l’isolement, le lien intergénérationnel… Le CNAM a accueilli cet événement le 5 juin 2018 car il correspond bien à la vision prospective promue par cet institut.
Quel était le profil des intervenants ?
Nous avons voulu un colloque où se croisent les regards. Aussi les intervenants venaient de tous horizons : chercheurs, professionnels de terrain, « start-uppers »,… Le colloque a été introduit par Olivier Faron, administrateur général du CNAM, Eric de Rothschild, président de la Fondation Casip-Cojasor et Sandra Bertezene, titulaire de la chaire des services de santé du CNAM et le sociologue Serge Guérin.
Quel était le profil du public ?
Près de 300 personnes ont assisté au colloque afin de promouvoir le fruit de ces réflexions dans leurs structures professionnelles respectives : AP-HP, Agence Régionale de Santé, Conseils Départementaux, groupes privés médico-sociaux,…
Mais l’intérêt de ce colloque dépasse le simple cadre de cette journée. L’objectif est d’en essaimer les conclusions en publiant les actes du colloque dans la nouvelle collection dirigée par la Fondation Casip-Cojasor : « penser la solidarité : hier et aujourd’hui » aux éditions Le Manuscrit.
Pour en savoir plus, vous pouvez retrouver le compte-rendu du colloque ici